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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 00:51

nouvelle-affiche-pour-le-film-alice-aux-pays-des-merveilles.jpgAprès avoir enfin pu sortir de la salle d'examen d'Arcueil, je suis allée voir Alice in Wonderland en 3D. La 3D ne m'emballe pas, mais comme c'est le grand truc à la mode, j'ai décidé d'essayer au moins une fois. Bilan des courses : je ne vois pas ce que la 3D apporte de plus, d'autant que j'ai eu l'impression de voir moins les détails avec. En plus, il m'a fallût un peu de temps pour m'habituer aux sous-titres en 3D et c'est inconfortable : mes lunettes sont assez lourdes donc avec les 3D en prime on sentait bien le poids en plus et bien-sûr les 3D n'ont pas cessé de glisser).


Faut-il réellement rappeler l'histoire ? En gros, Alice est sur le point de se retrouver fiancée avec un rouquin à l'air idiot(déjà vu dans Becoming Jane)parce que c'est ce que l'on attend d'elle mais au moment de donner sa réponse, elle voit un lapin blanc avec un gilet qui lui fait signe et le suis jusque dans Wonderland, où l'on attend une certaine Alice qui est sensé tuer le Jabberwocky et ainsi mettre un terme au règne de la terrible Reine de coeur, sauf qu'Alice n'a envie de tuer personne et n'est même pas sûre d'être la bonne Alice.


J'ai bien aimé ce film si l'on met à part la musique du générique de fin mais surtout la chanson sur laquelle le chapelier danse, parce qu'elle gâche toute la scène, je suis sûre que ça aurait top sur un air de violon ou de cornemuse(pour aller avec son kilt). C'est un film qu'on peut regarder avec des enfants(je pense à mes neveux parfois et donc c'est toujours la bonne excuse pour acheter un dvd : c'est comme ça que j'ai acheté Bambi)sans pour autant que ce soit niais comme le monde de Narnia.


Il est vrai que je ne suis pas une fan d'Alice aux pays des merveilles et en particulier du dessin animé(j'aime Bambi et en ce moment-même je veux un bourriquet en peluche), du coup, la version Burton m'a plût, parce qu'elle est moins illogique. J'ai aimé les décors, et particulier l'idée que toutes les têtes que la reine a fait couper sont dans les douves, les costumes avec la robe faite de rideau d'Alice et en plus, il n'y a prequ'aucun poème ou chanson dans ce film, ce que j'ai énormément apprécié.


absolem.jpgEnsuite, je n'ai pas trouvé qu'il y ait une histoire d'amour entre le chapelier et Alice, pour moi c'est juste de l'amitié et je n'ai pas non plus trouvé qu'on voyait trop le chapelier. Ma préférence est cependant allée aux personnages secondaires(bien que j'ai adoré les yeux du chapelier) avec tout d'abord Absolem !!!! puis le chat Chessire. Il faut l'avoir vu en vo pour comprendre toutes les qualités de ces deux personnages et en particulier d'Absolem, puisque c'est Alan Rickman qui le double, tandis que pour Chess, c'est Stephen Fry. J'ai aussi aimé Bayard. Et ça m'a amusé de retrouver Christopher Lee pour la voix du Jabberwocky.


La musique de David Elfman m'a aussi plût. J'ai également aimé les costumes de l'entourages des deux reines avec d'un côté, les nobles vêtus de noir de la reine rouge et leurs visages très laids(mais n'oublions pas qu'il y avait un hérisson hyper mignon, qui m'a fait penser à Ernie, le hérisson de la pub Spontex)et de l'autre, les nobles blancs, assez pâles de la reine blanche qui a des poses complètement maniérées et qui sait habilement manipuler autrui.

Pour ce qui est des invités des fiançailles d'Alice, j'ai bien aimé la tante complètement givrée et la tentative d'étouffement de l'héroïne au sein de cette société. En bonus, le beau-frère d'Alice n'est autre que le Sergent Scott !!! ça m'a bien amusée dans le cinéma.


Concernant la fin, j'ai effectivement été déçue quand j'ai compris comment ça allait tourner mais je n'avais pas trop d'illusion, parce qu'il est très rare que l'on nous montre le choix opposé(franchement, qu'est-ce qu'il a de si intéressant que ça notre monde ? en dehors des machines à laver, chose qu'un héros ne prend jamais en compte, parce que ses vêtements se lavent tout seul)mais j'ai été finalement assez contente de celui-ci, parce qu'il n'était pas non plus complètement convenu, parce qu'on aurait pu faire plus mièvre.

 

J'ai bien aimé ce film et je ne vais pas le dénigréer parce que Disney l'a produit(je rappelle d'ailleurs que l'étrange Noël de Mr Jack est un Disney)

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 18:22
woodstock.jpgAujourd'hui, nous allons parler d'Hotel Woodstock, que j'ai regardé la semaine dernière(oui, je rattrape peu à peu mon retard bloguesque).

Elliot est peintre mais il se voit obligé de sacrifier ses rêves pour retourner habiter chez ses parents, afin de les aider à maintenir à flot l'hôtel miteux qu'il tienne. Elliot fait tout ce qu'il peut pour empêcher celui-ci de fermer, organisant de petits festivals annuels de musique ou en hébergeant une troupe de théâtre avant-gardiste dans la bergerie, mais tout cela ne semble pas suffisant pour rembourser les emprunts à la banque. La situation change quand Elliot apprend qu'une ville voisine vient de refuser d'héberger un grand festival de musique pour la paix, car Elliot possède les autorisations nécessaires pour accueillir un tel festival, il décide d'appeler les organisateurs et c'est ainsi que tout commença.

J'ai bien aimé ce film, où l'on va suivre les préparatifs pour le festival, avec les modifications que cela entraîne au niveau du motel et la découverte de cette foule qui va peu à peu s'amasser à cet endroit.

J'ai eu un faible particulier pour le policier avec une fleur à son casque et pour Vilma, le garde du corps travesti, qui va révéler à Elliot une autre facette de ses parents et surtout de son père.  Elliot est également un personnage intéressant, car c'est le fils modèle, qui est en fait en train de se faire exploiter par sa mère, mais qui voudrait pouvoir vivre sa vie. J'aime aussi son père qui retrouve peu à peu goût à la vie et qui sort de l'ennui qu'était son quotidien.

Le film présente tout le problème qu'il y a à essayer vivre sa vie et à prendre son indépendance. J'ai trouvé ce film intéressant, il nous montre Woodstock des coulisses et comme un témoin aurait pu le voir. J'ai bien aimé la manière dont l'ambiance est rendue et la galerie de personnages que l'on croise.
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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 21:07
Cachou m'a tanné pour que je vois ce film, donc ça y est, c'est fait. Je n'ai pas détesté, mais je me suis pas mal ennuyée.

L'histoire est celle de deux êtres qui s'ennuient et sont dépaysés au Japon et qui vont se rapprocher l'un de l'autre et tromper ensemble leur ennui, avec d'un côté Bob Harris, la star dont les heures de gloire sont plutôt derrière lui, dont le mariage a perdu son intérêt et qui est là pour tourner une pub pour le whisky et de l'autre, Charlotte, la jeune épouse, fraîchement diplômée qui ne sait pas quoi faire de sa vie et qui s'ennuie ferme pendant que son mari bosse.
C'est donc la rencontre de deux personnes insatisfaites par leur situation et qui vont ensemble donner de l'intérêt à une expérience qui semblait bien partie pour être mauvaise.

Pour ma part, la magie n'est pas passée, j'ai beaucoup regardé l'heure, car j'ai besoin qu'un film ait une ligne directrice, qu'on ait l'impression d'aller vers quelque chose, or là c'est plutôt le genre de film, où on se dit que ça pourrait durer des heures et des heures, sans progresser davantage. En plus, le thème de l'ennui n'est pas forcément un thème qui m'attire, j'ai plus envie de secouer les personnages pour leur demander pourquoi ils n'ont pas emmené de livres avec eux, ils auraient pu se douter que le voyage serait chiant, surtout la fille, parce qu'elle est tout de même sensé être diplômé de philo, vous n'allez pas me faire croire que ce genre de personne est capable de voyager sans un livre ?

Le jeu des acteurs était bon mais tout cela m'a laissé de marbre et avec la hâte de voir le film se finir.
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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 22:10
Voici un film que m'a fait découvrir Cachou(non, cette fois aucun défi  pourri n'était impliqué). C'est l'histoire de Jessica Stein, 28ans,  célibataire, dont la mère et les amies ne cessent d'essayer de la caser avec tous les céilbataires qui passent,  comme si elle n'avait pas déjà sa part avec tous ses rendez-vous ratés et cerise sur la gâteau son chef finit par dire que ce n'est pas la faute des mecs si ça ne marche pas mais la sienne, car elle est trop perfectionniste. Là on sent venir la comédie romantique traditionnelle, avec une relation haine-amour entre elle et son chef, Josh Meyer, où comme dans un harlequin, Josh va découvrir dans ce brin de fille qui l'agace, la fille avec qui se caser après toutes ses relations d'un soeur, tandis qu'elle va découvrir par-delà son irritation première qu'en fait elle a des sentiments pour le monsieur. Eh bien, non, ce ne sera pas un harlequin en image, car à ce moment-là, où le chef la vexe avec sa remarque qui sonne si juste et qui fait si mal, la situation prend une autre direction. Attirée par une petite annonce dans un journal local qui cite un des auteurs préférés, notre Jessica toute coincée qu'elle est, va y répondre alors qu'il s'agit d'une annonce lesbienne. C'est ainsi qu'elle va rencontrer Helen et qu'une relation va naître entre ces deux femmes si différentes, Jessica, la prude, hyper stressée, perfectionniste à l'extrême, et Helen, à la vie sexuelle très remplie et qui avait mis cette annonce simplement pour pimenter son ordinaire. Suffira-t-il à Jessica de changer de bord pour trouver le bonheur qui jusqu'ici lui échappait ?


J'ai bien aimé ce film, même si la fin n'était pas tout à fait ce que j'espérais, c'est une très belle histoire, parfois drôle vu que ça nous entraîne dans le domaine des relations entre femmes et que notre héroïne s'est un peu trop documenté sur la question dans son soucis de bien faire. L'histoire aussi nous entraîne aussi dans la problématique de la connaissance et de l'acceptation de soi.

Je me suis énormément identifiée à l'héroïne et j'ai particulièrement aimé une des scènes du début où on la voit chez elle avec un livre et la caméra fait le tour de la pièce et... il y a des livres partout !

C'est donc une comédie romantique qui change, évitant les schémas habituels et que j'ai été très heureuse de découvrir.
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 00:27
Mr Fletcher est le propriétaire d'un vidéoclub miteux au sein d'un immeuble en ruine. Malheureusement pour lui, la vie a  des projets d'urbanisation qui impliquent la destruction de son immeuble qui ne satisfait plus au norme de sécurité et alors qu'il est absent, un incident survient dans sa boutique, causé par Jerry, le voisin paranoïaque et qui entraîne la destruction du contenu de toutes les cassettes de la boutique. Le pauvre Mike, qui avait la charge de la boutique, ne sait que faire pour empêcher que Mr Fletcher apprenne l'incident, car il ne tient pas à le décevoir, et c'est ainsi qu'avec Jerry, ils font un remake de ghostbuster à refiler à une des clientes, puis de Rush Hour 2 et découvrent rapidement que leurs versions suédés sont populaires, serait-ce là la solution à tous leurs problèmes ?

C'est un film agréable, j'ai préféré la première partie, quand ils font les films suédés et surtout quand on s'attarde sur ceux-ci, avec en particulier la version suédé de Ghostbuster, Rush Hour 2 et le Roi Lion, où nos héros font preuve d'un grande inventivité pour résoudre les problèmes d'effets spéciaux ou de délai de leurs tournages. C'est donc très sympathique d'essayer de reconnaître les films ou les scènes mais Ghostbuster est mon moment préféré, car j'adore la manière dont ils essaient de refaire la scène de la bibliothèque avec en plus des guirlandes de noël pour matérialisé de rayon de leurs pistolets.

Le film aussi aborde quelques problématiques plus sérieuses comme la lutte d'un petit quartier face à une urbanisation sans humanité et surtout la question des droits d'auteur et où on se demande ce que ce petit quartier peut avoir fait de si criminel avec ses films suédés.

J'ai aussi beaucoup aimé l'apparition de Sigourney Weaver, ce qui est un bon clin d'oeil à ghostbuster et Danny Glover est aussi très bon dans le rôle de Mr Fletcher, un peu dépassé par les événements.

Et comme je n'y résiste pas je vous laisse sur une image de la version suédé de Ghostbusters :


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18 septembre 2009 5 18 /09 /septembre /2009 16:13
Cette semaine, c'était la rentrée du cinéma, dont j'ai un peu profité même si je n'ai pas pu y aller autant que je le voulais entre mon déménagement et le fait que je devais voir mon directeur de recherche. mais j'ai été voir plusieurs films dont je vais brièvement vous parler maintenant.

Je suis d'abord allée voir Numéro 9, vu que c'est un film produit par Tim Burton.
L'histoire : l'humanité a été détruite par sa propre course à la technologie mais il reste 9 petits robots qui ont été créé dans un but qui d'abord nous échappe. Une partie de ses robots vit cachée de peur des  créatures mécaniques qui continuent d'errer dans le monde extérieur mais cette vie craintive va être bouleversée avec l'éveil du Numéro 9 qui va les obliger à agir.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce film et j'ai été charmée, j'ai adorée la manière dont était filmé l'éveil du numéro 9. Les différents petits robots sont très attachants, chacun ayant des particularités propres, ma préférence allait à Numéro 1, le chef qui en sait peut-être plus qu'il ne le montre.

C'est un film assez sombre et qui n'est peut-être pas forcément conseillé pour des enfants.



Je suis ensuite allée voir Harry Potter dont j'ai parlé dans un billet précédent.

Le mardi, je suis d'abord allée voir Victoria : les jeunes années d'une reine, qui après un passage rapide sur l'enfance de Victoria qui est très sympathique et ne tombe pas dans le cliché de la pauvre petite princesse malheureuse, nous amène directement à l'année précédant son couronnement. On assiste donc aux jeux de pouvoirs où chacun essaie de manipuler Victoria, puis l'arrivée au pouvoir de celle-ci et les problèmes que vont causer son inexpérience. La seconde ligne c'est l'histoire d'amour qui va naître entre elle et le prince Albert, envoyé au départ par le roi des Belges dans le but de manipuler la reine de façon à ce qu'elle vienne à son secours en cas de soulèvement en Belgique.

C'est très intéressant de suivre les jeux de pouvoirs tout comme l'histoire d'amour, en plus, comme je connais mal l'histoire d'Angleterre, de la Victoria, je ne me rappelais que du fait qu'elle a règné longtemps et a porté le deuil de son mari jusqu'à sa propre mort, donc pour moi, le suspens était intact.

Le casting était très interessant, avec Emily Blunt qui jouait dans the Jane Austen bookclub, l'acteur qui interprêtait le roi d'Angleterre est également celui qui jouait le professeur Slughorn dans Harry Potter, Mark Strong, le Mr Knightley de la version itv, qui était beaucoup mieux dans le rôle de l'affreux Sir John et Miranda Richardson dans le rôle de la mère de Victoria, qui est apparu dans la coupe de Feu dans le rôle de Rita Skeeter mais qui sera davantage par les fans de Blackadder puisque c'est elle qui y jouait entre autre la Reine Elizabeth.

J'ai bien aimé ce film, et j'ai eu un faible particulier pour Dash, le chien de la reine Victoria(tandis que ma voisine avait une préférence pour le frère du princ Albert). C'est un film que je ne regrette pas d'avoir vu, illustrant assez bien les difficultés pour la reine de maintenir son pouvoir tout en ayant besoin de conseils à cause de son manque d'expérience.

Ensuite, c'est sur Là-haut que s'est porté mon choix, la bande-annonce ayant semblée très prometteuse. C'est d'abord l'histoire de deux enfants fans du grand explorateur Charles Muntz qui dit avoir découvert avec son dirigeable une contrée perdue du nom de chutes du paradis. Cet explorateur a disparu après juré de ramener de là-bas un oiseau inconnu. Les deux enfants ont grandi et se sont mariés, avec en commun ce rêve de partir un jour habiter aux chutes du paradis, mais il y a toujours eu quelque chose pour les empêcher de réaliser ce rêve, menant ensemble une vie remplie et vieillissant, jusqu'au jour où Ellie meurt, laissant Karl Fredericksen tout seul. Notre petit vieillard continue de vivre avec le sourire de son épouse défunte et face à l'hostilité du monde qui l'entoure, il finit par se décider à réaliser leur rêve et attache des milliers de ballons à sa maison dans le but de l'emmener aux chutes du paradis mais ses projets vont vite être perturbé par Russell, un scout décidé à obtenir le badge qui lui manque : l'aide aux personnes âgés, et qui se trouve être une sorte de passager clandestin malgré lui. Tous deux vont donc partir à la découverte des chutes du pradis et être entraînés dans une aventure inattendue.

C'est un très beau film, le début peint la vie de Mr Fredericksen avec ses joies et ses peines, puis sa solitude et ce pauvre vieillard qui se retrouve seul et un peu largué parce que sa vie a toujours été une vie avec Ellie et qu'il doit à présent apprendre à vivre sans elle, est très émouvant, tout comme son interaction avec Russell, le petit boy-scout qui voudrait son badge simplement parce qu'il espère ainsi pouvoir passer un peu de temps avec son père à l'occasion de la cérémonie où l'on remet ceux-ci aux enfants. C'est donc une très belle histoire, qui est aussi très amusante, comme avec le fait que Russell a nommé l'oiseau mystérieux, Kévin, or Kévin est une fille mais Russell ne cessera jamais de l'appeler Kevin. Je pense que je l'ai préféré à Monstre et compagnie, car j'aime énormément Mr Fredericksen.


Et dans les découvertes au pays des bandes-annonces : il va y avoir un Toy Story III !!!

Et pour finir, j'ai vu No pasaran, un film français qui avait l'air très sympathique. Maxence Lafourcade a la quarantaine, il élève des cochons dans la petite exploitation familiale et s'occupe de sa grand-mère qui est aphasique depuis un accident cérébrale. Il est célibataire, vu qu'il n'y a pas beaucoup de possibilité de se trouver quelqu'un au fin fond des Pyrénées, surtout quand on est un petit exploitant. Sa petite vie tranquille bascule lorsqu'il apprend qu'il va devoir quitter son exploitation car elle se trouve en plein sur le tracé de la nouvelle autoroute que le député-maire veut construire pour désenclaver la vallée. Il décide donc de s'opposer à ce projet avec l'aide de son cousin, puis de l'américain du coin, un ex-avocat, qui accepte de leur venir en aide, tandis que Maxence sympathise avec sa fille Scarlett, une artiste qui ne peint que des animaux et qui s'incruste chez Maxence pour peindre ses cochons, à ce groupe vont aussi se joindre Inès, une éco-terroriste et Fabrice, la vedette locale de rugby.
C'est un film qui nous amène à suivre les efforts désespérés de Maxence pour sauver son exploitation, le film ne tombe pas dans la vulgaire dénonciation de l'avancée de l'urbanisation, c'est la vie du petit exploitant qui nous est peinte avec ses désillusions. Le film est parfois drôle, comme lorsque Maxence détruit une des voitures de la DDE avec son tracteur, ou, mon moment préféré, le passage à ours. Les personnages sont très intéressants, avec le notable qui cherchent à s'assurer une source de revenu pour le jour où il ne sera pas réélu, l'américain dont on ne sait pas trop si les motivations sont très pures, ou sa fille excentrique qui va pimenter un peu le quotidien de Maxence.

J'ai bien aimé ce film, il est drôle mais sans tombé dans le ridicule ou le vulgaire et son héros est attachant.

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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 14:00
 J'avais dit que je ne ferai pas la fête du cinéma et finalement je suis revenu sur ma décision, deux jours avant la fin, ce qui s'est soldé par le visionnage de 5 films et donc pas assez de temps, pour vous parler en longueur des 5, donc je vais vous parler de chacun brièvement.

Le premier film que je suis allée voir est Blood, the Last vampire.

Le film raconte la  quête de vengence de Saya, une chasseuse de démon, qui veut détruire le plus puissant des démons, Onigen et pou ce faire, elle s'est alliée à une organisation appelée le Conseil. En chemin, elle se retrouve avec la fille du Général de la base sur les bras et entre elles, va se nouer une relation d'amitié particulière.

Je ne connaissais pas l'animé dont le film est inspiré, du coup j'ai apprécié ce film. Les scènes de combat sont bien gore, avec un excès propre aux  scènes de batailles des mangas. J'ai un faible pour la manière dont Saya sort son sabre.

J'ai bien aimé la base américaine avec un campus qui est l'exact réplique d'un campus américain. Alice est aussi très sympathique et j'aime beaucoup ce qu'il y a de sous-entendus dans sa relation avec Saya.

La fin m'a un peu déçu car elle laisse un peu sur sa faim même si le clin d'oeil final est sympa.





Le second film, que j'ai découvert par Cachou, est Very Bad Trip.

L'histoire est celle de 4 types qui partent pour Las Vegas pour un enterrement de vie de garçon : il y a Doug le  futur marié, Phil(au milieu sur l'affiche) le beau gosse, un brin arnaqueur, qui est prof et marié mais ne cesse de se plaindre de sa situation ; Stu(à droite) un dentiste un brin coincé dont la copine est un vrai dragon ; et Alan, le frère de la mariée, assez bizarre et dont on ne sait pas bien s'il a toute sa tête. Tout ne se passe pas comme prévu et Phil, Stu et Alan se réveille le lendemain sans aucun souvenir de leur nuit et s'apperçoivent que le futur marié à disparu. Ils ont donc moins de 48h pour le retrouver et pour cela il faut qu'ils découvrent ce qu'ils ont fait durant cette fameuse nuit.

Je me suis bien marrée devant ce film, j'ai trouvé que les gags étaient bien fait, c'est-à-dire jamais trop lourd. On ne s'ennuie pas en suivant les efforts de Phil, Alan et Stu pour retracer leur pas et comprendre pourquoi leur suite est dans un tel état. Les problèmes liés au tigre sont assez drôle. Par contre, le grand mystère du film c'est d'où vient la poule ? le second est qui a embauché le chanteur du mariage car on peut dire qu'il est particulier...

J'aime particulièrement le fait que Stu abandonne son dragon et décide de retourner voir la strip-teaseuse, afin de la connaître mieux, ce serait sympa s'il l'épousait vraiment.


Par contre j'ai vu sur allociné qu'un 2 était prévu, avec les mêmes personnages, je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée.


Passons à l'âge de Glace 3 : le temps des dinosaures.

Dans cet opus, Manny va bientôt être papa et est absorbé par les préparatifs pour sa nouvelle famille. Diego songe à quitter le clan, parce qu'il pense qu'il est temps pour lui de repartir à l'aventure et Sid, du coup, veut fonder sa propre famille, sauf qu'il a la mauvaise idée de voler des oeufs trouvés dans une caverne, ce qui va entraîner quelques problèmes quand maman T-rex va s'en apercevoir...

Ce troisième opus est aussi bon que les précédents, ce qui le différencie de Shrek 3 qui était de qualité un peu inférieur. L'histoire me rappelle un peu le petit Dinosaure. Manny est assez drôle dans son rôle d'homme marié, surtout avec Elie qui passe son temps à introduire le petit grain de raison de la femme mariée, la relation entre Sid et la maman T-rex est assez génial, ça m'a fait un peu pensé au premier Shrek et j'aime toujours autant Diego, qui reste mon personnage préféré. Les aventures de Scrat sont également hilarante et j'ai énormément aimé la  conclusion de son dilemne : la femelle ou le gland.

Le film est toujours plein de clin d'oeil, tel que Moby Dick ou les Pierrafeu. Pour le personnage de Buck, je n'ai trouvé quel est le personnage dont il est inspiré, mis à part le capitaine Achab. Les graphismes sont toujours aussi soignés, le thème est toujours le même, c'est-à-dire l'appartenance à un clan et l'autre thème, c'est la question de l'amitié.


Ensuite, je me suis laissée tenter pour Whatever Works, par simple curiosité mais sans trop d'attente. Il s'agit de mon premier Woody Allen, et certainement pas de mon dernier, vu que j'ai trouvé ce film plus hilarant que l'Âge de Glace 3.

L'histoire c'est celle de Boris Yellnikoff, un génie misanthrope qui a raté le prix nobel, considère le reste de l'humanité comme de misérables vers et trouve que le monde est réellement horrible, ce qui fait que sa philosophie en "Whatever works" c'est-à-dire tout ce qui compte c'est que ça marche : prendre le plaisir dès qu'il s'offre car nous vivons dans un monde vraiment horrible. Un jour, en rentrant chez lui, il tombe sur Melody, une jeune fugueuse terriblement stupide et naïve, il a pitié d'elle et décide de l'héberger. Ils arrivent à cohabiter ensemble au point que Melody finit par tomber amoureuse de lui et c'est là, le départ de toute une chaîne d'événement qui illustreront le concept de "whatever works".

J'ai adoré le personnage de Boris avec sa misanthropie et ses manies complètement irrationnelle, c'est assez drôle d'avoir un type qui revendique complètement son athéisme et qui critique la société parce qu'il est bien plus intelligent et qui d'un autre côté chante "joyeux anniversaire" à chaque fois qu'il se lave les mains parce que c'est sensé chasser les microbes. J'adore aussi ce qui se passe avec les parents de Melody et leur manière de trouver le bonheur. Melody est aussi quelqu'un d'hilarant car c'est une éponge, ellle récupère les idées de Boris et cherche à les ressortir sans forcément comprendre de quoi elle parle, niveau intelligence, c'est un peu Kellie Bundy dans Marié deux enfants.

J'ai vraiment adoré l'humour de ce film, très intellectuel, le début est génial avec Boris s'adressant directement au spectateur pour mettre en question la raison de notre présence dans ce cinéma et la quête de personnage est très jouissive puisque l'on sort des réponses habituelles pleines d'une morale puritaine.


Dernier film que je suis allée voir : Looking for Eric, un brin par curiosité, à force d'avoir vu la bande-annonce durant la semaine de l'ugc. Il faut savoir que ce n'est pas mon genre de film et qu'halluciner la présence d'un personnage fait partie des choses dont j'ai horreur.

Eric Bishop est un type qui ne supporte plus sa vie, il vit avec ses deux beaux fils qui en ont tous les deux un peu rien à faire de leur beau père et dont l'aîné est mêlé à des trafics en tout genre et sa fille lui demande de lui donner un coup de main et de garder son bébé quelques heures mais cela implique pour lui de revoir Lily, la femme qu'il a abandonné,  il y a des années et qu'il a honte de revoir. Et un soir, il se retrouve nez-à-nez dans sa chambre avec Eric Cantona, son idole, qui va lui donner des conseils pour reprendre sa vie en main...

Il y a des moments assez marrant comme les efforts de ses amis postiers pour le sortir de la dépression, les discussions avec Cantona sont assez intéressantes, donc c'est un film qui est bien, mais qui ne m'enthousiasme pas forcément, vu que ce n'est pas mon genre de film, mais c'est une bonne histoire.

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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 01:05
Hier soir, j'ai donc enfin vu X-men Origin : Wolverine. J'ai bien aimé vu que j'ai vu la trilogie X-men mais que je n'ai pas eu l'occasion de lire le comics du coup j'étais curieuse quant aux événements auxquels il est fait référence dans X-men 2, comme les expérimentations qui ont eu lieu sur Wolverine et la raison de sa perte de mémoire. Normalement, il y a un autre film qui est prévu sur Magneto, j'ai hâte qu'il sorte car c'est un personnage que j'aime beaucoup et je suis très intéressée par son passé, vu qu'il semble avoir été lui aussi une bête de laboratoire et parce qu'il a créé avec le professeur Xavier l'école pour les X-men mais je ne sais pas pourquoi il a fini par quitter Xavier.

Pour en revenir à Wolverine, c'est un film très violent à l'image de son personnage principal qui est aux limites de l'animalité. Le film raconte d'abord l'enfance de Wolverine, le fait qu'il a un frère qui est assoiffé de sang, à la différence de Wolverine. Ils finissent par se faire recruter par Stryker qui est en train de monter une équipe d'élite, mais rapidement Wolverine se met à être en désaccord avec ce qu'on leur demande et finit par partir et on le retrouve 6 ans plus tard au fin fond du Canada à jouer les bûcherons et formant un joli couple avec une institutrice, mais le passé rattrape Wolverine et il se retrouve à nouveau en contact avec Stryker et obligé de s'allier avec lui...L'histoire va mener Wolverine à découvrir certains secrets dont l'ennemi que Stryker cherche à annihiler.

On retrouve toute la problèmatique de la chasse aux mutants et ainsi la liste des atrocités commises par Stryker s'allonge. On découvre pour quelle raison Logan accepte de participer à l'expérience qui va remplacer son squelette par de l'adamantium et surtout ses griffes, car les griffes en os sont pas top, par contre les lames en adamantium qui les remplacent sont magnifiques. On découvre aussi comment il va perdre la mémoire. Parmi les personnages de la trilogie, on a le droit à une brève apparition du professeur Xavier qui n'est pas encore dans un fauteuil à l'époque(ce qui mène à la question du comment a-t-il perdu l'usage de ses jambes...) et de Scott, ce qui nous permet de découvrir comment il se retrouve en contact avec Xavier. Parmi les mutants de cet opus, j'ai adoré Gambit, il a la classe.

Les scènes de combat sont spectaculaires, ma préféré reste celle où il détruit l'hélicoptère. Il y a aussi de l'humour comme quand Wolverine teste ses nouvelles griffes et détruit une partie de la salle de bain des petits vieux qui l'ont recueilli par maladresse. Dans les petits plus, il y a aussi le fait qu'on a un certain nombre de scène où Hugh Jackman est nu, ce qui fait toujours plaisir aux yeux.

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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 19:59
Ces nouveaux batmans sont aussi bons que ceux qui furent réalisés par Tim Burton, bien qu'il soit difficile de les comparer vu que chacun donne sa propre illustration de la noirceur de Gotham. Chez Burton, c'est l'aspect des Comics, des personnages monstrueux par nature ou accident mais d'une monstruosité un brin surnaturelle, il y a une légèreté qui est proche des comics des années 60. Il y a un aspect esthétique chez Burton mais dans cette nouvelle série, il y a une profondeur, Bruce Wayne évolue, on est loin en fait du film initiatique qui montre juste la création du personnage, on a davantage les troubles qui hantent Bruce Wayne, les problèmes d'identité et de limites que lui posent sa double-identité, ce n'est pas juste la problèmatique traditionnelle où le héros est déchiré par sa double-identité mais le prix à payer pour réellement être le justicier masqué.

 

Dans Batman Begins, on découvre comment un Golden Boy devient un superhéros avec le voyage en Asie qui lui apprend les techniques de combat puis la constitution de l'arsenal de batman. C'est en soi une quête de sens, avoir les moyens d'avoir un impact sur la société et trouver comment les appliquer. Dans the dark knight, on est cette fois face à des personnages plus traditionnels : le Joker et Harvey Dent mais ils sont très différents de l'interprétation qu'en avait donné Burton. La lutte n'est plus entre le bien et le mal mais entre l'ordre et le chaos avec l'introduction du Joker personnage sans limites qui devient le contre-poids négatif de Batman car il est une force irrésistible. Harvey Dent est le chevalier blanc, celui qui est destiné à redonner espoir à Gotham, son héros, le personnage publique qui n'a pas besoin d'agir dans l'ombre ni d'être un hors-la-loi. Le problème va être pour Bruce de devenir the dark knight, tout le film va mener au fait de devenir l'équivalent négatif, le héros de l'ombre, celui qui sera haï de tous.


Au début du film, on s'aperçoit que Batman a inspiré Gotham mais pas tout à fait en bien, puisque la ville pullule d'imitateur qui tente d'être le justicier masqué. L'élément qui vient changer la donne est l'arrivée d'un nouveau procureur, Harvey Dent, qui sort avec Rachelle, l'ex de Wayne, qui est très populaire et qui va être un maillon important dans le plan de Batman et Gordon pour se débarasser des chefs de la pègre mais Batman est allé trop loin, il a poussé trop loin les chefs de la pègre avec sa traque acharnée. Dès le début le problème des limites à l'action de batman est posé par Alfred : jusqu'où Batman est-il prêt à aller pour lutter contre les criminels ? C'est le problème du pouvoir qui place Bruce au-dessus des lois : mourir en héros ou être corrompu par le trop long contact ? Bruce est déjà corrompu au sens où il ne peut être le chevalier blanc et ça le rend très proche de V, lorsqu'il refuse d'appuyer sur le bouton du métro plein d'explosif parce que ce n'est plus son temps et qu'il pervertirait la révolution par un tel acte. Il n'y a pas de redemption, il ne peut y avoir de happy end. Le film a une noirceur qui est rare dans un film américain, surtout d'action où tout est noir et blanc. Ici le héros ne peut choisir le bien comme dans Spiderman qui est infesté par les bons sentiments mais simplement un certain degré de noirceur. A un moment, Bruce est prêt à révéler l'identité de Batman et ainsi à tout laisser tomber avec l'espoir que le monde sans Batman puisse commencer mais cela échoue et il ne peut cesser d'être Batman ce qui va le mener , quand Dent aura mal tourné, à endosser ses crimes, parce que la ville a besoin de cet espoir donc il fait le plus grand sacrifice,qui soit, en acceptant de ne pas être reconnu comme un héros, de se faire haïr pour faire ainsi son vrai devoir de justicier. Le personnage devient vraiment intéressant parce qu'il n'est pas confronté aux problèmes traditionnels des super-héros.


Un dernier point qui change est le fait que le Joker et double-face ont une monstruosité uniquement humaine. La monstruosité du Joker tient au fait que quelqu'un lui a coupé les deux joues pour qu'il ait un sourire constant comme l'Homme qui rit de Hugo mais on ignore qui lui a fait ça puiqu'il change d'histoire au fur et à mesure et Dent devient double-face parce qu'une partie de son visage est très gravement brûlée et refuse les greffes de peaux. Le Joker devient donc un monstre encore plus terrifiant qu'Hannibal Lecter puisqu'il n'a pas de limite dans sa cruauté.

Comme dans le précédant Batman, il est impossible de prévoir ce qui va se passer tout au long du film, ce qui est vraiment agréable dans un film d'action. Ce batman vaut vraiment la peine d'être vu  et la violence qui occupe une part très importante n'est pas gratuite mais correspond à la descente de Batman dans les ténèbres puisqu'il ne pourrait pas y avoir de problème autour des limites de Batman s'il n'y avait une situation extraordinaire, c'est un peu le même concept que pour une tragédie. Je me demande réellement ce qui va se passer dans le prochain, puisqu'il paraît qu'il s'agit d'une trilogie, donc y aura-t-il un espoir de rachat dans le prochain. ? Batman finira-t-il par être le héros de Gotham ou sera-t-il toujours un paria ?

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Citations : Terry Pratchett

Interesting time, p.43
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Interesting Time p.19
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Le Huitième Sortilège p.87
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La huitième Couleur p.91
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Apes had it worked out. No ape would philosophize, "The mountains is, and is not." They would think, 'The banana is. I will eat the banana. There is no banana. I want another banana."
Unseen Academicals p.76
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'I would like permission to fetch a note from my mother, sir.'
Ridcully sighed. 'Rincewind, you once informed me, to my everlasting puzzlement, that you never knew your mother because she ran away before you were born. Distincly remember writing it down in my diary. Would you like another try ?'
'Permission to go and find my mother ?'
Unseen Academicals,  p.187
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'The knees should be covered. It is a well-known fact that a glimpse of the male knee can drive women into a frenzy of libidinousness.'
Unseen Academiacls, p.130
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"Lord Vetinari's rules : if it takes an Igor to bring you back, you were dead. Briefly dead, it's true, which is why the murderer will be briefly hanged. A quarter of a second usually does it."
Unseen Academicals, p. 98
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"I'm a wizard ! We can see things that are really there, you know,"said Ridcully. " And in the case of the Bursar, things that aren't there too."
Hogfather, p 98

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