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7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 11:57

tome-6-junjo.jpgAujourd'hui je vais vous parler du tome 6 de Junjo Romantica de Shungiku Nakamura.

 

Misaki n'est pas au bout de ses peines dans ce tome, car à la réception donnée en l'honneur d'Usami, il va retomber sur Haruhiko et celui-ci est bien décidé à faire la conquête de Misaki...tandis que dans Junjo Terrorist, il y a de l'eau dans le gaz entre Shinobu et Miyagi.

 

Ce tome contient les chapitres 8 et 9 de Junjo Romantica, le chapitre 10 de Junjo Egoist et le chapitre 4 de Junjo Terrorist. Dans Romantica, nous en apprenons plus sur l'enfance d'Usami, tandis que Misaki est pris par l'angoisse d'être un fardeau pour lui, ce qui le rend très intéressant, car il semble plus fragile. Niveau relation, Usami aimerait que Misaki admette ce qu'il ressent mais ce n'est pas encore gagné.

 

Pour Egoist, ce n'est pas un chapitre où il se passe grand chose, on suit juste leur quotidien, par contre, dans Terrorist, il y a quelques informations importantes sur l'évolution de leur couple, ce qui est même frustrant, car on ne sait pas toujours s'il s'agit d'une vraie information ou si c'est une exagération de Miyagi. En tous cas, s'il y a vraiment eu une officialisation de leur relation, je regrette de l'avoir manquée, car Kamijou a dû faire preuve d'une violente résistance.

 

Dans Terrorist, les choses prennent un tour intéressant quand Shinobu découvre quelle est la photo que Miyagi conserve précieusement. J'adore ce couple, car Miyagi, quand il ne se jette pas sur Kamijou, est quelqu'un de très sérieux et qui n'apprécie pas que l'on vienne le tirer de son insensibilité. Je le trouve très attachant par sa difficulté à tirer un trait sur le passé, et je le plains, car devoir passer son temps à manger du choux, c'est vraiment affreux, Shinobu aurait pu avoir une obsession pour un truc plus appétissant.

 

Un tome intéressant et qui laisse pas mal de choses en suspend.

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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 17:34

YAOI_CaffeLatte.jpgEn ces temps de glandouille post-inspection catastrophique, je vais vous parler de Caffe Latte Rhapsody, un yaoi de Toko Kawai que j'ai acquis lors d'un de mes précédents passages à Dijon et que j'ai lu entre deux passages de l'anime Sekaiichi Hatsukoi.

 

Serizawa est libraire et n'a cessé d'enchaîner les relations amoureuses désastreuses. Un jour, sur son lieu de travail, il se met à remarquer un étudiant immense, qui cache sous une apparence effrayante une personnalité attachante et parfaitement inoffensive et autour d'un caffe latte, ils vont faire connaissance.

 

C'est un manga que j'ai lu essentiellement parce que je l'ai trouvé en occasion, car le graphisme n'est pas d'un style qui m'attire, en particulier au niveau du look des personnages(comprendre : des cheveux des personnages ). Cette première impression ne s'est pas démentie lors de la lecture, le dessin ne m'a aucun moment conquise(en même temps, il n'y avait pas non plus de grandes scènes d'émotions...).

 

Au niveau de l'histoire, nous avons des personnages qui ne sont pas sûrs d'eux à cause de leur apparence physique mais qui vont réussir à construire une relation toute douce à l'image d'un caffe latte(oui, c'est un élément récurrent de l'histoire). Cependant, il n'y a rien de vraiment original, c'est une romance plutôt sérieuse et qui ne mise pas forcément sur le spectaculaire pour avancer, ni sur les scènes osées donc, amatrices de scènes d'amour torride, passez votre chemin ! c'est un manga axé sur les sentiments et non le sexe, et on ne peut pas dire qu'il y ait grand chose à voir.

 

C'est un manga sympathique mais sans être remarquable.

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 10:24

loveless.jpgAujourd'hui je vais vous parler d'un manga que j'ai découvert par pur hasard et dont le premier tome m'a séduite : Loveless de Kouga Yun.

 

Depuis un mystérieux incident survenu deux ans plus tôt, Ritsuka n'a plus aucun souvenir de celui qu'il était et sa personnalité a changé. Sa mère refuse de reconnaître qu'il est Ritsuka et continue à espérer le retour de son fils. Son seul allié était Seimei, son frère, mais il meurt assassiné.

Un jour, un "adulte" vient attendre Ritsuka a la sortie de l'école, il prétend être un ami de Seimei. Ritsuka va être entraîné dans un univers où il est un sacrifice et Sôbi, son combattant, et il va essayer de faire la lumière sur la mort de son frère.

 

Tout à d'abord ce qui m'a poussé à acheter ce manga(et qui va me pousser à acheter les tomes suivants) c'est que le héros a des oreilles de chat tandis que Sôbi a un long manteau et de long cheveu(et un physique qui fait penser à Sô-Ichi). Je n'ai pas été déçue, Sôbi a même dépassé mes espérances, j'adore son tatouage(car quand je vois Beloved, je ne peux m'empêcher de penser au Fou)et surtout j'aime l'aura de mystère qui entoure le personnage, en particulier le fait que l'on ne sache pas exactement quelle est la nature de ses intentions et l'impression qu'il cache un secret assez noir). Ritsuka est aussi très intéressant, j'ai bien accroché au début quand il se montre très désagréable envers ses camarades de classe.

 

Loveless1_dvd.jpgNiveau personnage, leur race  m'intéresse énormément, car en fait, ce sont des êtres qui n'ont des oreilles de chat que tant qu'ils sont purs, dès qu'ils perdent leur virginité, ils perdent leurs oreilles. Ensuite, ce qui est intéressant c'est tout le système des combats avec les duo sacrifice-combattant, ce premier tome reste très vague quant à leur fonctionnement, il y a très peu d'explications, ce qui avive ma curiosité et me donne terriblement envie de lire la suite pour en apprendre davantage.

 

Concernant les graphismes, j'aime assez. Par contre, je me pose de grandes interrogations sur Kio, car ça doit être un homme, sauf que je l'ai pris pour une femme et ne me suis aperçue de mon erreur que lorsqu'il dit "j'étais content qu'il soit mort". En tous cas, je suis curieuse de savoir ce qu'il y a entre lui et Sôbi.

 

C'est donc un premier tome convaincant, j'espère que la suite sera à la hauteur, mais je suis déjà fan du couple Sôbi-Setsuka^^(oui, car j'ai oublié de préciser ce point, c'est un shônen-ai, c'est-à-dire un manga où il est question d'amour entre hommes mais de façon beaucoup plus chaste que dans un yaoi). 

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 13:36

school-of-the-muse.jpgAujourd'hui je vais vous parler des deux premiers tomes de School of the Muse de Makoto Tateno.

 

Le lycée Misono est un lycée particulier, car en plus du cursus normal, il contient un cursus dont les élèves sont séparés des autres et bénéficient d'aménagement dans leurs études, c'est le cursus artistique, aussi appelé par les élèves normaux : school of the muse, car c'est une classe réservées aux Idols, que ce soient des chanteurs, des compositeurs, des mannequins ou encore des acteurs.

Tadafumi est un élève brillant du cursus normal, comme il est boursier, il se retrouve obligé de donner des cours particuliers à Yû, le chanteur du groupe still, qui doit passer les rattrapages.

 

Cette série raconte les amours des différents élèves de la section artistique et comme dans Yebisu Celebrities ou Fragments d'amour, il apparaît rapidement qu'ils sont tous gays ou sur le point de le devenir...

 

school_of_the_muse_002.jpgJ'ai préféré le premier tome, car j'ai bien aimé l'histoire entre les deux mannequins, celle entre Morisaki et Misao et celle entre Yû et Tadafumi. Du tome 2, j'ai surtout aimé la suite de l'histoire entre Yû et Tadafumi et l'extra sur la fête de l'école car on y recroisait les couples du premier tome.

 

C'est un manga agréable mais qui n'a rien de très original, mais certains personnages ont de beaux cheveux(je rappelle que les cheveux jouent un grand rôle dans mon goût pour un manga). Ce sont des histoires d'amour très classiques et où les sentiments sont avoués très rapidement(je préfère quand les choses traînent comme dans Sekaiichi Hatsukoi ou The Tyrant). Par contre, les histoires courtes que l'on a la fin sont d'un style différent, en particulier celle du 2, car l'une est tirée d'une anthologie sur l'immoralité et donc raconte une histoire d'abus sexuel entre deux frères, l'autre d'une anthologie sur l'aristocratie où le héros devient la chose de l'homme qui l'a sauvé.

 

J'ai passé un moment agréable en le lisant mais ce n'est pas un manga dont je vais attendre la suite avec impatience(ce qui ne veut pas dire que je n'achèterai pas la suite par contre...).

 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 13:29

immoral-darkness.jpgAujourd'hui c'est le retour du yaoi en roman avec Immoral Darkness, de Miyu Matsuda. En effet, j'ai une fois de plus craqué en flânant sur amazon mais j'avais dit que je levais le pied sur les mangas et ce n'est pas un manga...

 

Shiina Jun est un lycéen timide qui dissimule sa fragilité sous des airs de froideur. Sa beauté le rend très populaire auprès des filles mais il n'est intéressé par aucune d'elle et ne se lie avec personne, car sa plus grande peur est l'abandon. En effet, sous ses airs de beauté enviable, il cache un terrible secret : sa famille le néglige. Quand il rentre chez lui, il est comme un étranger dans une pension, il ne goûte aucunement à la chaleur d'une famille et ce sont là les ténèbres qui le rongent, car la seule chose à laquelle il aspire c'est à un peu d'affection.

Un jour, alors qu'il rentre d'une entrevue avec la femme qui l'entretient, il se fait accoster par des petits truands qui veulent son argent. Alors qu'il pouvait très bien s'en sortir seul, un homme vient à son secours : Sasagawa Testuya, son professeur de mathématique. Shiina découvre alors une autre face de ce professeur auquel il avait l'impression de s'identifier et les ténèbres semblent s'intensifier lorsque celui-ci l'entraîne dans les toilettes de la gare pour le violer. A partir de là, Shiina va avoir du mal à échapper aux attentions de cet enseignant qui propose de le sauver et lit si bien en lui. Mais comment faire confiance à l'homme qui vous a violé ?

 

immoral-darkness-2.jpgJ'ai un avis partagé sur ce livre. J'ai été déçue par la dernière partie qui nous offre un happy end digne d'un harlequin(mais rassurez-vous, ils ne s'envolent pas pour autant pour la Californie afin de se marier et n'adoptent pas un petit malien). En effet, le fait que même les problèmes familiaux du héros s'arrangent m'a agacé car j'aimais bien cette noirceur qui entourait le quotidien du héros, ce cadre oppressant que rien ne semblait pouvoir anéantir et finalement avec une petite discussion à coeur ouvert, tout s'est arrangé. C'est trop facile comme solution et très décevant. Tout comme la manière dont évolue la relation entre les deux, car, oui, on sait déjà dès le départ qu'ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, car le yaoi c'est comme un harlequin, ça a des passages obligés(ce qui fait le côté passionnant du Tyrant c'est que le happy end est très mal barré, du coup on suit de volume en volume car on ne sait pas comment l'auteur va réussir à faire tenir leur couple...oui, je suis en train de guetter avec assiduité mes flux rss pour le nouveau chapitre, du coup, j'en parle plus).Cependant, j'ai été déçue car j'ai trouvé que Sasagawa n'était pas assez exploré et le fait qu'il soit capable de coucher avec une gamine de 14ans m'a dérangée.

 

Sinon, la première moitié du livre est prenante, j'ai d'ailleurs préféré l'intrigue de départ à celle de Body Language, qui est d'ailleurs plus axé sur le sexe. J'aimais bien cette ambiance sombre et le fait que le héros, un brin innocent et fragile, semble s'enfoncer de plus en plus dans les ténèbres, mais la tournure des choses m'a ensuite déçue, car on ne reste pas assez longtemps dans cette ambiance, je trouve que le héros bascule trop vite du côté de la passion, j'aurai voulu qu'il résiste davantage à Sasagawa.

 

Au niveau des illustrations, j'ai aimé la manière dont Yukariko Jissohji a dessiné Shiina, surtout quand il a l'air en détresse. Par contre, je n'ai pas été très fan de son Sasagawa, à cause de la disproportion entre les deux personnages.

 

C'est donc une idée de départ qui avait du potentiel mais qui a été mal exploitée. Rendez-vous aux prochaines vacances pour ma prochaine lecture de ce genre. J'étais très intéressée par Ai no Kusabi, the space between, mais malheureusement le premier tome n'est plus disponible. Je ne sais pas de quoi il parle, mais j'avais bien aimé la phrase d'accroche "In Space, no one can hear you...moan ?".

 

challenge-In-the-mood-for-Japan

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 23:07

love-pistol-taifu-1.jpgAujourd'hui je vais vous parler des deux premiers tomes de Love Pistols deTarako Kotobuki.

 

Norio est un adolescent tout ce qu'il y a de plus normal, mais un jour, ila un accident de scooter. Depuis ce moment, il voit des animaux à la place des hommes et des pervers ne cessent d'essayer de le tripoter... Il va rapidement découvrir que le monde n'est pas ce qu'il lui semblait et que parmi les humains nomaux vivent des Thérianthropes, une race mêlée à laquelle il s'avère appartenir.

 

J'avais dit, il y a quelques jours, que ce manga ne m'inspirait pas, mais après lecture, il me faut revoir mon opinion sur le sujet, car finalement j'ai vraiment bien accroché et ce, dès les premiers pages, alors que j'avais vraiment peur que le dessin m'empêche d'apprécier l'histoire. Mais finalement les situations sont tellement drôles qu'il est difficile de ne pas se laisser emporter par l'histoire.

 

J'aime bien Norio, qui est le lycéen puceau qui se retrouve tout d'un coup projeté dans un univers où il est très désirable et il est vraiment adorable dans sa version animale !

Mais mon personnage favori est Yonekuni Madarame, car j'ai adoré le concept du type qui hait les hommes, il a un comportement tellement excessif ! En plus, il a de super cheveux(oui, ça faisait longtemps que je n'avais pas ressorti l'effet l'Oréal).

 

Les histoires sont intéressantes, on découvre petit à petit les différents éléments relatifs aux thérianthropes et je trouve la brochure d'explication assez drôle.

 

Par contre, niveau dessin, c'est plutôt décevant, le sens des proportions n'est pas vraiment respecté et je ne suis pas trop fan de la manière dont les visages sont représentés. Par contre, les animaux sont bien dessinés.

 

C'est un manga qui n'est pas forcément très attirant quand on le feuillette mais qui est très prenant dès qu'on commence à le lire. Je vais donc lire la suite avec intérêt.

 

Je vous laisse sur ce manga et on se retrouve dans une semaine, car demain je pars en vacances !

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 22:41

bodylanguage.jpgAlors que l'heure est aux bilans de l'année 2010 et aux résolutions pour 2011, je vais vous parler de mon premier yaoi sous forme de roman, car j'ai beaucoup trop la flemme pour élaborer un billet bilan. Il s'agit de Body Language d'Aki Morimoto.

 

Kanae est considéré comme la beauté froide de l'école et sans qu'il ait rien fait pour cela, tout le monde croit qu'il se donne au premier venu, homme ou femme, les rumeurs les plus folles circulent à son sujet. Il est secrètement amoureux de son ami Yuichi, le tombeur de l'école, incapable de rester longtemps dans une relation, rompant dès que l'ennui le gagne, car la seule chose qui l'intéresse c'est d'avoir quelqu'un avec qui il peut coucher à sa guise. Yuichi en est donc arrivé au point où aucune fille ne veut plus sortir avec lui. Alors qu'il se plaint à Kanae de son abstinence forcée, ce dernier lui fait une proposition inattendue : s'il a tant besoin que ça de s'envoyer en l'air, pourquoi ne coucheraient-ils pas ensemble ? Mais les choses ne tournent pas comme Kanae l'avait prévu, car au lieu d'une aventure d'un soir, il se retrouve embarqué dans une vraie relation avec Yuichi. Mais vu le passé de Yuichi, cette relation est-elle vraiment faite pour durer ou va-t-il abandonner Kanae dès qu'il aura perdu le charme de la nouveauté ?

 

J'avais envie de lire un yaoi en roman depuis que j'avais découvert qu'il existait des romans tirés de Junjo Romantica. Malheureusement, ceux-là n'ont pas l'air d'être disponibles en langue anglaise, mais alors que je flânais sur amazon, j'ai découvert qu'il y avait cependant d'autres titres disponibles. C'est ainsi que j'ai fait l'acquisition de Body Language et je ne le regrette pas, car les choses sont exactement comme je m'y attendais, c'est-à-dire du même style que les extraits des romans d'Usami dans les premiers tomes de Junjo Romantica.

 

Il ne faut pas du tout s'attendre à quelque chose d'élevé, il y a beaucoup de sexe(le contraire eût été particulièrement décevant)mais l'histoire d'amour est aussi intéressante(oui, car si vous ne l'avez pas encore compris, c'est un peu comme un harlequin audace mais en plus détaillé, moins niais et avec un couple gay sexy). J'ai énormément aimé le personnage principal qui est prêt à tout pour pouvoir se rapprocher de celui qu'il aime sans espoir d'un retour(par contre, j'ai trouvé que son degré de soumission était parfois gênant). C'est un personnage angoissé qui ne cesse de se demander si son bonheur va finir et qui dissimule ses vraies sentiments de peur que l'autre ne le quitte s'il découvre la vérité, à savoir qu'il était vierge et amoureux.

 

Le livre est accompagné de quelques illustrations, ce qui m'a également rappelé Junjo, cependant ils ne m'ont pas énormément plu, car j'ai trouvé les proportions assez mal respectées, le décalage étant trop grand entre le seme et le uke. Ce qui m'a surtout gêné c'est la manière dont Kanae était dessiné.

 

Dans l'ensemble, ce fut une bonne expérience que je pense réitérer dans l'année, d'autant que j'ai repéré quelques livres sur amazon. En plus, ça me permettra de progresser dans ma liste pour le challenge In the mood for Japan, auquel j'ai fini par m'inscrire et que je fais en mode samouraï. Ma prochaine lecture pour le challenge sera un Geek au Japon.

 

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 10:28

Lovely_Teachers_02.jpgAujourd'hui, je vais vous parler du tome 2 de Lovely Teachers ! de Nase Yamato. J'avais attendu ce second tome avec un patience, puisque les scans disponibles s'arrêtaient au premier chapitre, où Komori était en fâcheuse posture.

 

C'est une nouvelle année qui commence pour Komori, jeune instituteur plein de bonne volonté mais avec un sérieux problème d'autorité et qui sort désormais avec son collègue, Kyô Takigawa. Leur quotidien est boulversé par la nomination d'un nouveau professeur en CE2 C. Le professeur Ibuki est très sévère et se met aussitôt à critiquer les méthodes de Komori. Komori se met alors à faire tous ses efforts pour satisfaire Ibuki, ce qui n'est pas sans déplaire à Takigawa.

 

J'aime toujours autant ce manga, même si l'histoire est moins passionnante dans ce tome, où l'enjeu tourne surtout autour de la crainte de Komori de voir leur relation éclater au grand jour. Le nouveau personnage crée quelques situations intéressantes.

 

Ce que j'aime beaucoup dans ce manga, c'est le personnage de Komori, car depuis septembre, je m'identifie beaucoup avec ce personnage qui veut bien faire et ne cesse de se planter et qui n'est pas hyper respecté par ses élèves(moi, aussi, ça peut donner des résultats grandioses quand j'essaie de les faire se ranger... ce qui explique pourquoi je m'y essaie rarement).

 

On a aussi une histoire courte : "Oh my... I can't go home", où un employé de bureau se fait proposer une méthode très particulière d'arrêter de fumer par un de ses collègues. Je ne l'ai pas trouvé si extraordinaire que ça et j'ai trouvé que l'auteur avait donné aux personnages des traits un peu trop semblables à ceux que l'on a dans Lovely Teachers.

 

C'est un manga sympathique, que j'aime beaucoup. En plus, à la fin, il y a les dates de sorties d'un certain nombre de série que je lis et j'ai ainsi découvert que le tome 1 de Junjo Romantica est sensé sortir le 27 janvier(je ne compte pas l'acheter vu que je les ai en anglais, puisqu'au moment où je les ai découvert, il n'était pas sorti en France).

 

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 09:39

not-ready-sensei-manga-volume-1-simple-24761.jpgComme je l'avais déjà dit à l'occasion de moin article sur Sekaiichi Hatsukoi, j'ai un faible pour les mangas qui nous entraînent dans les coulisses de la production d'un manga et c'est ce qui fait que j'ai fini par acheter Not ready, Sensei ?!, alors qu'initialement le dessin de la couverture et des planches n'était pas d'un genre qui me donnait envie.

 

Murakami Hiroshi est un mangaka débutant spécialisé dans les shonen(manga pour adolescents) et qui rêve de se voir confier une série. Sa petite amie est assistante auprès du mangaka Tsubaki Kagura, un dessinateur de Shojo(manga pour adolescentes). Un jour, il se retrouve à la remplacée auprès de Kagura et cette rencontre va bouleverser sa carrière et son quotidien, car Kagura va le prendre sous son aile et ainsi lancer la carrière d'Hiroshi...mais dans l'univers du yaoi. En plus, Hiroshi va devoir essayer d'échapper aux ardeurs de  Kagura.

 

J'ai finalement bien aimé ce manga, surtout parce qu'il nous entraîne dans les coulisses de la production d'un yaoi que nous découvrons avec le héros qui clame haut et fort qu'il est hétérosexuel et qui a énormément de mal à comprendre l'intérêt que les lecteurs ont pour ce type de lecture(j'aime beaucoup sa réaction quand son éditeur masculin qui partageait son sentiment lui annonce qu'il s'en va).

notready.pngOn suit sa progression de mangaka et ses efforts pour essayer d'améliorer ses histoires(j'adore quand il va voir les deux assistantes de Kagura pour obtenir leurs aides et qu'on se retrouve avec l'explication des types de seme/uke et la question des scènes de sexe). En plus, on retrouve le personnage de l'éditrice perverse, que l'on a également dans Junjo Romantica, car c'est en fait qui demande des scènes osées au personnage. Ici c'est un personnage assez comique car elle a l'air très zen, une sorte de Mr Tanaka en plus pervers.

 

Ce manga m'a aussi permis de découvrir l'utilité des assistants, car on en entend souvent parler dans les mangas mais c'est rare de voir le travail qu'ils fournissent puisque dans Sekaiichi Hatsukoi, on suit l'histoire du point de vue de l'éditeur, tandis que dans Junjo, on suit Usami qui est un auteur de Boy's love mais dans le domaine des romans et non en mangas. Alors qu'ici, on voit les assistantes de Kagura mais surtout Ryo qui va avoir un rôle important dans l'histoire. 

 

J'ai vraiment bien aimé le fait que l'on suivait l'histoire du point de vue d'un jeune mangaka et au niveau de l'histoire, j'ai trouvé ses déboires amoureux assez drôles, surtout sa relation avec Kagura, qui a un tel enthousiasme qu'il me fait penser à Nicky Larson(le fait qu'il se fait parfois frapper par Hiroshi lorsqu'il se laisse trop emporter par ses fantasmes joue aussi dans cette impression). J'ai trouvé les situations plutôt drôles.

 

A noter aussi qu'un des personnages ressemble à Maes Hughes, mais uniquement au niveau du dessin, puisque dans le manga c'est un éditeur sans scrupule qui utilise les mangakas sans se préoccuper d'eux.

 

Un yaoi qui vaut plutôt le détour vu que son intérêt ne réside pas uniquement dans la vie amoureuse de son héros.

 

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 23:09

chemistry-lab.gifAujourd'hui je suis allée faire un tour à Annecy et j'ai profité de mon passage à la fnac(en quête de cadeaux de noël...)pour acheter les derniers volumes des séries que je suis(The Tyrant, Viewfinder et Welcome...). J'ai donc enfin pu lire la suite de Welcome to the Chemistry Lab de Rie Honjoh.

Attention cet article contient des spoilers.

 

Dans ce second et dernier tome, nous suivons l'évolution de l'un des couples du tome 1, nous découvrons de nouvelles histoires et surtout nous découvrons enfin la raison pour laquelle Shibaura a quitté Kôsuke et comment vont se dérouler leurs retrouvailles.

 

Le tome 1 m'avait enthousiasmée par la noirceur de Shibaura et le mystère qui entoure sa conduite. Ce second tome m'a déçu, parce que finalement les choses tournent de façon trop gentillette à mon goût, puisque l'on arrive à une forme de happy end, car il s'avère que Shibaura n'était pas un sale manipulateur sans aucun sentiment, mais qu'au contraire, il traite Kôsuke comme un chien parce que telle est sa conception de l'amour et qu'il cherche simplement à faire de lui son partenaire idéal. Du coup, je suis déçue, même si j'aime le côté tout à fait noir de cette conception de l'amour, car finalement, tout n'était pas une comédie, il avait bien des sentiments.


welcome-to-the-chemistry-lab-pag000.jpgEn plus, j'ai trouvé que la partie les concernant était beaucoup trop courte, car on reste un peu sur sa faim, puisqu'on a seulement le moment où Kosuke accepte de resté avec lui mais rien sur la manière dont les choses tournent et que l'on n'a plus le droit à ses petites scènes cruelles que l'on avait dans le un, car j'aimais énormément les exigences tordues de Shibaura, donc je m'attendais à les retrouver dans ce tome(l'intérêt étant dans la réaction de Kôsuke : se soumet-il ou pas ?).

 

Les autres histoires n'avaient rien de très remarquable, si ce n'est une où l'on reconnaissait le goût de l'auteur pour les scènes humiliantes. De même pour l'histoire entre Shuri et Kobayashi, c'est trop cout, ça aurait pu être vraiment mieux développé.

 

C'est donc un manga qui ne s'est pas avéré à la hauteur des espoirs que donnait le premier tome(même s'il semble que beaucoup de fan espérait le gentil dénouement dans lequel je ne voulais pas croire), car finalement le méchant ne s'avère pas un vrai méchant, ce qui est vraiment dommage, car il avait du potentiel. Du coup, là, je vais me consoler de cette déception avec le tome 3 de Viewfinder.

 

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Citations : Terry Pratchett

Interesting time, p.43
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Interesting Time p.19
*****
Le Huitième Sortilège p.87
*****
La huitième Couleur p.91
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Apes had it worked out. No ape would philosophize, "The mountains is, and is not." They would think, 'The banana is. I will eat the banana. There is no banana. I want another banana."
Unseen Academicals p.76
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'I would like permission to fetch a note from my mother, sir.'
Ridcully sighed. 'Rincewind, you once informed me, to my everlasting puzzlement, that you never knew your mother because she ran away before you were born. Distincly remember writing it down in my diary. Would you like another try ?'
'Permission to go and find my mother ?'
Unseen Academicals,  p.187
*****
'The knees should be covered. It is a well-known fact that a glimpse of the male knee can drive women into a frenzy of libidinousness.'
Unseen Academiacls, p.130
*****
"Lord Vetinari's rules : if it takes an Igor to bring you back, you were dead. Briefly dead, it's true, which is why the murderer will be briefly hanged. A quarter of a second usually does it."
Unseen Academicals, p. 98
*****
"I'm a wizard ! We can see things that are really there, you know,"said Ridcully. " And in the case of the Bursar, things that aren't there too."
Hogfather, p 98

Perdu Dans La Vallée ?

Malakos is here too !!!

Archives

Le mot de l'auteur

 

Bienvenue au sein de la vallée des grenouilles séchées,  blog d'une prof de lettres classiques fan de Star Trek et de Terry Pratchett.
Vous trouverez ici mes impressions sur des ouvrages que j'ai lu, des films qui ont retenu mon attention et parfois des séries.
 
Sur ce, je vous souhaite une bonne navigation mais méfiez-vous d'une chose, j'ai une tendance à m'adresser plus à ceux qui ont lu ou vu ce dont je parle, donc quand ce n'est pas votre cas, évitez de continuer votre lecture quand vous atteignez le paragraphe commençant par "dans le détail" ou voici la partie spoiler mais dans la plupart des cas, les spoilers sont en surlignés.

The Bursar

Et pour me laisser un message sans lien avec un article c'est par là :



 
 

One Challenge to rule them All

logo fondcomble

 

Pour s'inscrire, c'est par là.


Pour consulter les billets publiés par les autres membres de la Communauté ou laisser les liens de vos article, c'est ici.


Pour les logos des différents niveaux c'est là.


Pour les différents logos généraux, c'est ici et .

 


***********************


De mon côté, je vais faire le challenge Valar !

 

Jusqu'ici j'ai peu avancé.

J'ai lu :

The Hobbit

Le Silmarillion

The Fellowship of the Ring

The Two Towers

 

L'adieu au Roi, chansons pour J.R.R. Tolkien

Beowulf

 

 

Challengevalar 2

mes coups de coeur

Mes coups de coeur 2009














Mes coups de coeur 2010

sherlock-holmes-2009

Homère et Shakespeare en banlieue
seigneursOlympe
team medical 01
koi-suru-bo-kun-kaiosha-1
starship troopers
lovely_teacher.jpg
hei-sensei.jpg
rocky-horror-picture-show-posters.jpg
petits meurtres à l'anglaise
galaxy-quest-deluxe-edition-dvd
Couverture-Princesse-Soso.jpg
maurice.jpg
Mes coups de coeur 2011
gemmell legende
bowie labyrinth jim henson movie poster
grammaire
st trinian
Mes coups de coeur 2012
Crimson Spell