Aujourd'hui je vais vous parler des tomes 5, 6 et 7 de No Money.
Dans le tome 5(et le début du 6), Ayase voudrait un petit boulot et se voit proposer une place d'aide-cuisinier dans l'host-club de Someya, qui a pour particularité de n'avoir que des travestis pour hôtesses. Face à cette compagnie excentrique, Ayase va-t-il changer d'opinion sur les homosexuels ?
Dans le tome 7 et la fin du tome 6, Ayase convaint Kâno d'héberger pour une nuit le fils d'un de ses amis, mais celui-ci semble cacher quelque chose.
Je ne me lasse toujours pas de cette série, qui contient une bonne dose de dérision, le tome 6 nous offrant deux chapitres parodiques racontant l'histoire "je ne suis pas un esclave", une sorte de réécriture de no money version jeu vidéo/jeu de rôle.
Les choses évoluent un peu entre Ayase et Kâno, même si elles restent compliquées. En tous cas, le tour qu'elles prennent est assez drôle, puisque Kâno, notre gros mafieux 100% hétéro et que les gays dégoûtent, doit bien se rendre à l'évidence que son amour pour Ayase fait de lui un gay, tandis qu'Ayase a toujours du mal à réaliser quels sont les sentiments de Kâno a son égard. Ce que je trouve aussi extrêmement drôle c'est ce qui arrive à chaque fois à ce pauvre Misao Kuba, qui a d'ailleurs droit à une histoire courte à la fin du 5 tandis que son petit frère est à l'honneur à la fin du 7 où l'on a aussi droit à une apparition de notre styliste au complexe lolita.
Un autre point que j'ai aimé a été la visite au parc d'attraction dans le tome 6, car ce n'est pas du tout un endroit fait pour Kâno(du coup, je suis en train d'imaginer ce que donnerait une telle situation dans The Tyrant...). L'ambiance dans le club de Someya m'a aussi plu, car j'aime le personnage et l'endroit lui-même a un bon potentiel comique.
Je ne me lasse pas du tout de cette série, j'adore les différents costumes d'Ayase et en plus, dans ces tomes, nous avons droits à quelques anecdotes sur la jeunesse de Kâno.