Aujourd'hui je vais vous parler de The Hobbit de J.R.R. Tolkien, car, oui, j'ai enfin réussi à rejoindre le planning confirmé(mais il faut encore que j'écrive mon billet sur le Silmarillon et que je lise les Contes et légendes inachevés)
Bilbo est un hobbit tout ce qu'il y a de respectable, qui n'a jamais vécu la moindre aventure et qui suite à l'arrivée chez lui de Gandalf le mage et de treize nains va tout d'un coin se retrouver au coeur d'une aventure. Et pas n'importe laquelle, puisque notre hobbit est embauché comme cambrioleur dans une quête destinée à récupérer le trésor des nains gardé par Smaug, le terrible dragon.
The Hobbit est un livre que j'aime énormément et certainement mon préféré de Tolkien. J'aime énormément l'ambiance qui y règne, son côté conte, où l'on imagine bien la voix du conteur qui cherche à captiver un public d'enfant, mais au bon sens du terme, puisque c'est un roman qui est merveilleusement écrit. Ensuite j'aime énormément Bilbo, qui est le parfait anti-héros au départ mais qui va énormément évoluer au fil du livre, tout en restant le petit hobbit qui aime avoir régulièrement de quoi manger et des mouchoirs.
C'est une histoire pleine de rebondissement avec des Trolls, des gobelins, des aigles ou encore des elfes. De temps en temps, on repère des éléments renvoyant à des événements plus importants que ceux raconter dans le livre, comme la guerre que les mages ont mené contre le Nécromancien.
C'est un livre qu'il faut lire en vo, car en vo, on perçoit toute la musicalité des chansons ou même de certaines phrases. J'ai eu énormément de plaisir à relire ce livre, d'autant plus que j'avais une nouvelle édition pour l'occasion : l'édition de poche illustrée par Alan Lee. C'est une édition très agréable qui contient un certain nombre d'illustrations en couleur mais aussi des petits dessins bien répartis dans les différents chapitres.
The Hobbit est une histoire très sympathique, que je vous conseille surtout si vous pouvez mettre la main sur l'édition de poche harper Collin 2008, illustrée par Alan Lee(le prix vaut le coup).